From www Des clapotis plutôt qu'un tsunami? Dans une nouvelle étude parue en fin de semaine dernière, le cabinet McKinsey minore considérablement l'ampleur de la déferlante attendue de la tokenisation - l'inscription dans une blockchain (Ethereum, par exemple) d'actifs comme des actions, de la dette, des bons du Trésor ou de l'immobilier. Et parle plutôt de petites vagues successives. Malgré les promesses de cette technologie (en termes de rapidité des transactions, de baisse des coûts, de traçabilité, ou encore de liquidité), McKinsey (en anglais) évalue ce marché à 2.000milliards de dollars (1.865milliards d'euros) en2030, loin des 10.000milliards et 16.000milliards avancés l'année dernière par Roland Berger et le Boston Consulting Group. Il s'agit du scénario «de base» du cabinet, dans lequel l'environnement réglementaire international parvient à se clarifier malgré ses disparités, les infrastructures ( blockchain ) atteignent une forme de maturité, de gros acteurs catalysent la demande pour certains actifs tokenisés, et les risques en matière de sécurité sont contenus. Dans un scénario plus pessimiste où tous ces indicateurs ne sont pas aussi avancés, le marché de la tokenisation n'atteindrait que 800milliards de dollars en2030. Et même dans le cas où tous les feux seraient passés au vert, le cabinet anticipe qu'il n'excéderait pas les 3.800milliards. BlackRock, l'arbre qui cache la forêt L'étude exclut les monnaies numériques de banques centrales , mais celles-ci offrent un bon éclairage des limites des tokens. L'euro numérique, en plein chantier actuellement, privilégiera ainsi des technologies conventionnelles plutôt que la blockchain. Elle serait incapable, selon les professionnels, d'absorber les dizaines de milliers de transactions par seconde qui seront demandées. L'immobilier et les actions en retrait Depuis mars2023, les banques de l'Union européenne bénéficient pourtant du «régime pilote DLT», qui assouplit les règles pour trois ans afin d'expérimenter l'émission, l'enregistrement, le transfert et le stockage d'instruments tokenisés. Cependant, à l'échelle mondiale, de nombreuses institutions restent «attentistes». McKinsey prévient quand même: «Les premiers qui saisiront la vague pourraient atteindre une part de marché démesurée et définir les canons des futurs standards.» Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Avec son approche open source, Meta persiste et signe dans sa prise à contrepied d'OpenAI et des modèles fermés d'intelligence artificielle de ce dernier. Basé à Paris, son laboratoire de recherche Fair va apporter ses conseils à cinq nouvelles start-up utilisatrices de Llama ou d'autres modèles ouverts, dans le cadre d'un partenariat avec la plateforme spécialisée Hugging Face et le fournisseur de cloud Scaleway. Les candidats sont appelés à se manifester d'ici le 16août. Parmi les défenseurs de la libre circulation des modèles d'IA dernier cri - un principe reconnu comme ayant permis les progrès scientifiques dans le domaine ces dernières années - Meta fait figure de dernier résistant. Fondé pour partager les recherches ayant créé ChatGPT avec une large communauté, OpenAI vit maintenant depuis plusieurs années sous une bulle opaque en ne rendant quasiment plus rien de public à propos de ses modèles d'IA pour empêcher tout mauvais usage de sa technologie mais aussi pour mieux les monétiser. Dans son sillage, Google ou encore Anthropic jettent un voile sur la plupart de leurs modèles et en facturent l'usage. Achats massifs auprès de Nvidia La coûteuse course aux GPU A l'inverse, ce n'est qu'après avoir abandonné l'idée de développer une activité à but non lucratif qu'OpenAI a pu nouer un partenariat rémunérateur avec Microsoft. Selon le média «The Information», l'entreprise de Sam Altman devrait doubler ses recettes en2024 par rapport à l'année précédente, à 3,4milliards de dollars. Open source ou pas, ses rivaux purs player des modèles d'IA vivent encore davantage de leurs levées de fonds que de leurs propres revenus. Les applications plutôt que les modèles La start-up franco-américaine vit des conseils et des services qu'elle propose aux développeurs à l'oeuvre sur des modèles open source. Et sa conviction est faite. Ce ne seront bientôt plus les modèles mais les applications exploitant un modèle open source à l'état de l'art, avec les conseils de ses concepteurs, qui offriront le plus d'opportunités. Chez Meta, le chercheur Yann Le Cun est sur la même ligne. C'est d'ailleurs tout l'intérêt de soutenir des start-up adeptes des modèles ouverts. «L'avenir de l'IA, ce sera beaucoup de petites sociétés qui vont adapter des modèles ouverts pour une expertise métier. L'enjeu est de trouver les bonnes niches de marchés où ce sera utile», dit-il. Devenus superflus mais coûteux, les modèles fermés seraient alors, peut-être, poussés dans une impasse. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Les IA conversationnelles, ou grands modèles de langages, sont parfois vues comme la porte à l'intelligence artificielle générale. ChatGPT sait par exemple répondre à des questions posées aux Olympiades internationales de mathématiques. Et pourtant, sur d'autres questions, en apparence beaucoup plus simples, ChatGPT fait de surprenantes fautes. Quels aspects de l'intelligence des IA conversationnelles expliquent leur capacité à résoudre certains problèmes et pas d'autres? Thomas McCoy et ses co-auteurs conjecturent que c'est lié à leur modèle sous-jacent d'autorégression: techniquement, ces IA sont entraînées à compléter des textes trouvés sur Internet. Si une IA est très bonne pour calculer (9/5) x + 32, mais pas (7/5) x + 31, c'est parce que la première formule correspond à la conversion de degrés Celsius vers Fahrenheit, une conversion très fréquente sur Internet, tandis que la deuxième ne correspond pas à une formule particulière. Les IA conversationnelles seraient donc bonnes à reproduire ce qu'elles ont déjà vu. En effet, des nombreux travaux ont montré qu'elles avaient une certaine tendance à reproduire des bribes de textes connus. Donc, si l'IA sait résoudre des problèmes des Olympiades internationales de mathématiques, est-ce tout simplement parce qu'elle a mémorisé la réponse? Faire du nouveau Mais la mémorisation serait-elle un aspect de l'intelligence? En1987, Lenat et Feigenbaum conjecturaient que pour un agent cognitif, accumuler du savoir permet de résoudre de nouvelles tâches en ayant moins à apprendre. Peut-être l'intelligence de l'IA conversationnelle est de savoir piocher les bonnes bribes d'information, et les combiner. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Insérer sa carte bancaire dans un terminal de paiement. Le geste, déjà en recul depuis l'essor du sans contact, devrait se faire encore moins fréquent grâce à l'arrivée progressive d'une nouvelle fonctionnalité, le «Sans Contact Plus». Déployée en France depuis quelques jours, cette dernière permet de payer en apposant simplement une carte bancaire sur un terminal de paiement. Et cela même pour les montants supérieurs à 50 euros. Une étape reste néanmoins un passage obligé : la saisie du code confidentiel, vérifié par la banque du client. Adoption massive Concurrence d'Apple Pay La levée du plafond de paiement devrait aussi permettre au GIE Cartes Bancaires CB de réorienter des flux de paiement vers CB. Car bien souvent, les transactions mobiles échappent au réseau français et transitent grâce à des acteurs privés, commeApple Pay. Ce moyen de paiement, qui n'est pas plafonné, connaît actuellement une véritable explosion. L'enjeu est donc fort. En2022, il a progressé de 137%, après une hausse de 177% en2021, pour atteindreune part de près de 6% dans les paiements par carte de proximité, selon la Banque de France. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Après l'annonce des résultats des élections européennes, les cartes politiques sont plus que jamais rebattues dans le Vieux Continent. C'est peu de le dire. Dans la plupart des27pays de l'Union européenne, le scrutin de début juin a consacré une large et historique victoire de l'extrême droite, ce que prédisaient d'ailleurs les sondages quelques semaines plus tôt. En France, par exemple, le Rassemblement national (RN), emmené par son président, Jordan Bardella, a raflé plus de 30% des voix, loin devant Renaissance, le parti du président Emmanuel Macron, qui s'en est sorti avec à peine 15% du suffrage. Même scénario en Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas… Selon les estimations, la droite nationaliste s'empare de près d'un quart des720sièges de l'hémicycle européen. «Un butin électoral assez grandiose», considère le quotidien marocainL'Opinion. Jusque-là dominé par le Parti populaire européen (PPE), de droite, et les socio-démocrates, un basculement en faveur de l'extrême droite, pour ne pas dire une nouvelle ère, s'annonce pour le Parlement européen. Dans l'immédiat, les premiers résultats du vote ont eu l'effet de contraindre à des mesures d'urgence dans certains États membres. C'est le cas de la France où, dans la foulée, le président Emmanuel Macron a décidé la dissolution du Parlement et annoncé des législatives anticipées qui devraient se tenir le 30juin pour le premier tour et le 7juillet pour le second. Des élections très scrutées au sud de la Méditerranée Au Burkina Faso, le journal Le Pays se demande franchement ce que cette montée de l'extrême droite en Europe pourrait avoir comme impact sur l'Afrique. «Faut-il s'en réjouir ou s'en inquiéter?»s'interroge en effet le canard. Alors que plusieurs pays du continent africain restent des points de départde milliers de migrants illégaux vers l'Europe, la question migratoire n'est pas des moins sensibles lorsqu'il s'agit de commenter les européennes. Rien qu'en Tunisie,462corps de migrants irréguliers ont été repêchés sur les côtes depuis le début de l'année, selon un récent bilan dressé par les autorités de ce pays du Maghreb. Un intérêt de l'Afrique pour la question migratoire «Un mal pour un bien pourl'Afrique» Un enjeu hautement géopolitique pour le Maroc Lire l'article complet sur : www.lepoint.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Bien des secousses liées à des conflits, attentats, scandales économiques, belliqueux, sociétaux, environnementaux ont nourri l’actualité l’année dernière. Mais c’est un phénomène qui progresse à bas bruit, aussi doux et enveloppant qu’une séance d’ASMR que l’on préfère souligner pour commencer. En 2023, le care a gagné quelques batailles. Se faire du bien, s’entraider, protéger la planète : en 2023, on veut plus de douceur, de soin, de joie. Pour tout dire, la beauté et le bien-être ont bénéficié de l’actu chaude par le truchement de cette requête du soin agissant sur l’état émotionnel. Le tapping, ou tapotements thérapeutiques (EFT, emotional free- dom technique), propose de se libérer des émotions négatives et de soulager le corps. Cette promesse en a fait une top requête sur YouTube. De leur côté, à travers des mouvements lents et conscients, les somatic workouts (+500 % de requêtes entre 2022 et 2023) proposent de renforcer la connexion corps-esprit afin de libérer en premier des émotions non acceptées. Le kobido (massage japonais du visage) a inspiré deux fois plus d’intérêt, et le sound bath (expérience méditative de guérison par le son), +20 %. Éloge de la paresse Conséquemment, 2023 nous a rappelé les vertus du collectif : face à la dureté de la vie (y compris numérique), la résistance s’organise, souvent nourrie par des femmes. Le programme « Elles Font YouTube » les encourage d’ailleurs à s’exprimer tout en favorisant une meilleure inclusivité. Pendant ce temps, les hommes s’illustrent en mode entertainment et trustent intégralement le top 10 des vidéos les plus vues sur YouTube : Squeezie, Inoxtag, Michou, Greg Guillotin et autre Maxou assurent le show et affichent les meilleures progressions en termes de nombre de followers en 2023. Seule Cossi s’inscrit dans ce top 10. La route est longue… L’intelligence artificielle s’invite dans le réel Google utilise déjà des algorithmes d’apprentissage automatique pour améliorer les résultats de recherche : la traduction automatique, la reconnaissance vocale, la recommandation de contenus spécialisés et la reconnaissance d’image. Au deuxième semestre 2023, YouTube a dévoilé une liste d’outils basés sur l’IA et désormais intégrés à la plateforme (ou en test). Ils permettent la création de décors (ou arrière-plans) guidée par des mots clés (Dream Screen pour les Shorts) et facilitent la production et le partage de vidéos (You- Tube Create). Ils s’ajoutent à l’outil de doublage automatique Aloud et complètent Creator Music, qui assiste désormais les utilisateurs dans leur recherche de bande-son. De leur côté, les marques se passionnent déjà pour l’IA puisqu’elles leur facilitent la tâche dans leurs relations clients (quasi automatisées) ou la création de contenus dans le cadre de leur propre communication… Sauver la planète La lutte contre l’obsolescence programmée a conduit le public à s’orienter vers des solutions d’achat mieux maîtrisées. Cette tendance dite Long Life Tech se traduit par des initiatives intéressantes comme l’indice de réparabilité institué en France ou le Digital Fair Repair Act, qui favorise la réparation plutôt que le remplacement des équipements électroniques dans l’État de New York. D’ailleurs, l’intérêt de recherche pour la réparation a augmenté de 30 % ces cinq dernières années. De même, pour consommer autrement, des tendances comme le No Buy Day créé à l’image du Dry January ont invité à reconsidérer la nécessité de nos achats. Logiquement, le luxe n’échappe pas au phénomène, avec le déploiement des « dupes », cette démarche qui consiste à dupliquer les codes du luxe sans avoir à en payer le prix, (parfois) rédhibitoire. Les dupes (à ne pas confondre avec les contrefaçons) de produits de luxe ont provoqué deux fois plus de recherches en l’espace d’un an. Pour finir et pour l’anecdote, nous proposons une bonne et une mauvaise nouvelle tirées des classem*nts par sujet de Google. Un français se distingue dans le top 10 (exclusivement farci de blockbusters américains) des recherches effectuées sur les longs-métrages diffusés au cinéma : Astérix et Obélix de Guillaume Canet, juste derrière Oppenheimer, Barbie et Avatar 2, rien que ça. En revanche, une seule femme, nommons-la : Karolina Muchova, figure dans le top 10 des athlètes recherchés en 2023. Doit mieux faire. Épique époque En février 2023, le Service d’Information du Gouvernement lançait une vaste étude prospective1 pour qualifier l’époque dans laquelle nous vivons. Il en est ressorti quatre macro-tendances sociétales structurelles qui résonnent parfaitement avec les observations faites sur Google. Se concentrer sur l’essentiel : les Français se concentrent sur ce qui est à leur portée, proche d’eux et accorde le plus de valeur à ce qui est tangible. Ils se recentrent sur l’essentiel, dans une recherche d’ancrage et de simplicité. Rester agile : la mobilité, plutôt que la stabilité, est la norme. Les référentiels se recomposent pour devenir davantage pluriels, tenant compte des particularismes. L’agilité, devant la profusion des voies ouvertes, s’exprime dans une quête de l’équilibre et de l’alignement, avec un souci de conciliation. Être et faire ensemble : la société prône l’acceptation de chacun dans sa singularité. Dans une société plus diverse, il s’agit aussi de défendre un lien qui semble menacé face à la montée des disparités sociales, culturelles, territoriales et générationnelles, de créer de l’unité pour dépasser les divisions, de résorber les distances en refaisant commun, par l’échange et l’engagement. Prendre soin : une nouvelle éthique de l’attention invite à valoriser toute chose ou être vivant, sous le prisme des vulnérabilités, dans une nouvelle relation sensible, considérant les chaînes d’interdépendance. Elle pose en corollaire la question de la durabilité et de la transmission. 1- Étude réalisée sur la base d’un corpus documentaire composé d’ouvrages de penseurs et chercheurs en sciences sociales et économiques, de rapports et d’études (qualitatives, quantitatives, social listening). Les travaux menés ont reposé sur une approche systémique, par thématiques en lien avec le quotidien des Français (famille, éducation, santé, alimenta- tion, mobilité, spiritualité, habitat et cadre de vie, etc). Lire l'article complet sur : www.influencia.net No comment yet. Sign up to comment
From www From wildfires in Canada to flooding in India, people across the world are dealing with the realities of climate change. The world recorded its highest temperatures ever this summer and the climate models for 2100 make sobering reading. To tackle climate change we need a data-driven approach, using technology to help decarbonize the sectors that contribute to it. The transportation sector is the largest contributor to climate change in the US and Europe. Simply put, travel is in need of a long-overdue update. The good news is that, in 2024, we will kickstart that much needed moment for green mobility. The infrastructure is growing, but the information is still catching up. That’s why, to empower drivers with the information they need, Google has updated its Search experience to make it easier to research the costs and incentives associated with EVs. Google Maps also shows nearby EV chargers and offers eco-friendly routing—providing directions optimized for fuel or battery efficiency. In 2024, drivers will not only be able to more easily purchase an electric vehicle, they will be able to more easily charge them. The theory is simple: When billions of people have the tools to make more informed decisions, meaningful change is possible. The impact of individuals grows exponentially when coupled with systemic investments by government officials and business leaders. We all know the feeling of impatience when waiting for the light to turn green. It’s not just an inconvenience, it’s bad for the environment—US Department of Energy data suggests that eliminating idling vehicles is equivalent to taking 5 million cars off American roads. In partnership with local governments, Google (where I am the chief sustainability officer) recently expanded Project Green Light—which leverages AI to improve traffic light efficiency—to 12 cities around the world. Early results show there’s potential to reduce the number of vehicle stops by up to 30 percent, lowering emissions for up to 30 million car trips monthly. Along with opportunities on roads and rails, in 2024 we will make progress on our skies. Aviation is responsible for 3.5 percent of global warming—35 percent of which is non-emissions related. The culprit? Contrails—the feathery white trails created by airplanes. They may look harmless, but they trap heat inside the Earth’s atmosphere. Using AI-based technology, Google partnered with American Airlines and Breakthrough Energy to reduce contrails by 54 percent—achieving the first proof point of verifiable and cost-effective contrail avoidance. Delta Airlines, Massachusetts Institute of Technology, and others are also working to tackle the issue. In 2024, clean mobility will move closer to the norm across transportation, not the exception. Lire l'article complet sur : www.wired.com No comment yet. Sign up to comment
From www Volocopter a de l’avance dans son retard. L’entreprise allemande, qui veut être la première au monde à commercialiser des vols en eVTOL (aéronef à décollage et atterrissage verticaux électrique), nous confiait il y a quelques semaines que ses taxis volants ne transporteraient pas les athlètes lors des Jeux olympiques et paralympiques, faute d’avoir obtenu les certifications nécessaires. Néanmoins, elle espérait obtenir une autorisation courant de l’été pour réaliser ses premiers vols d’expérimentation dans le ciel de Paris. Volocopter a finalement obtenu le feu vert du ministre des Transports, Patrice Vergriete, il y a quelques jours pour mener ces expérimentations, à la veille des JO. Démontrer le potentiel technique et commercial Après ces tests, Volocopter pourrait décrocher les certifications nécessaires auprès de l’Agence de l’Union européenne pour la sécurité aérienne (EASA) et de la Direction générale de l’Aviation civile (DGAC) afin de voler au-dessus des zones habitées. La prochaine étape serait alors la commercialisation. Dirk Hoke, CEO de Volocopter, espère qu’elle commencera d’ici la fin de l’année. L’entreprise serait alors la première au monde à pouvoir commercialiser des vols en eVTOL. 5 vertiports en région parisienne L’entreprise SITA, qui fournit des solutions technologiques dans le domaine aéronautique, planche actuellement sur l’expérience client délivrée dans les vertiports. « Les passagers ne voudront pas attendre aussi longtemps que dans un aéroport pour monter à bord. Il va donc falloir que la vérification des bagages et de leur identité soit réalisée en moins de 5 minutes », nous explique Sergio Colella, Président de SITA Europe. Cette expérience simplifiée sera possible grâce à l’usage de la biométrie notamment. Lire l'article complet sur : www.tom.travel No comment yet. Sign up to comment
From www Thousands of people catching trains in the United Kingdom likely had their faces scanned by Amazon software as part of widespread artificial intelligence trials, new documents reveal. The image recognition system was used to predict travelers’ age, gender, and potential emotions—with the suggestion that the data could be used in advertising systems in the future. During the past two years, eight train stations around the UK—including large stations such as London’s Euston and Waterloo, Manchester Piccadilly, and other smaller stations—have tested AI surveillance technology with CCTV cameras with the aim of alerting staff to safety incidents and potentially reducing certain types of crime. The extensive trials, overseen by rail infrastructure body Network Rail, have used object recognition—a type of machine learning that can identify items in videofeeds—to detect people trespassing on tracks, monitor and predict platform overcrowding, identify antisocial behavior (“running, shouting, skateboarding, smoking”), and spot potential bike thieves. Separate trials have used wireless sensors to detect slippery floors, full bins, and drains that may overflow. The scope of the AI trials, elements of which have previously been reported, was revealed in a cache of documents obtained in response to a freedom of information request by civil liberties group Big Brother Watch. “The rollout and normalization of AI surveillance in these public spaces, without much consultation and conversation, is quite a concerning step,” says Jake Hurfurt, the head of research and investigations at the group. The AI trials used a combination of “smart” CCTV cameras that can detect objects or movements from images they capture and older cameras that have their videofeeds connected to cloud-based analysis. Between five and seven cameras or sensors were included at each station, note the documents, which are dated from April 2023. One spreadsheet lists 50 possible AI use cases, although not all of these appear to have been used in the tests. One station, London Euston, was due to trial a “suicide risk” detection system, but the documents say the camera failed and staff did not see need to replace it due to the station being a “terminus” station. Hurfurt says the most “concerning” element of the trials focused on “passenger demographics.” According to the documents, this setup could use images from the cameras to produce a “statistical analysis of age range and male/female demographics,” and is also able to “analyze for emotion” such as “happy, sad, and angry.” Lire l'article complet sur : www.wired.com No comment yet. Sign up to comment
From www L'intelligence artificielle ne date pas d'hier. Les entreprises de la tech l'ont depuis bien longtemps incorporé à leurs outils internes ou leurs produits. C'est le cas de Gojob. Fondée en2015, cette start-up développe depuis plusieurs années une plateforme d'IA qui met en relation les candidats intérimaires et les entreprises. « Pour nous, il y a clairement un avant et un après IA générative », lâche Pascal Lorne, PDG de la jeune société, qui dévoile aux « Echos » son nouvel assistant IA. Baptisé « Gojob Aglaé », il effectue l'équivalent du travail de… 200 recruteurs, soit 130 agences d'intérim traditionnelles, selon le dirigeant. OpenAI et Mistral AI derrière Le choix d'OpenAI a été naturel car «c'était le premier», observe le dirigeant. Celui de Mistral a notamment relevé de la souveraineté. «Il est impératif que chaque pays utilise un LLM souverain, sinon chaque pays va perdre son âme», estime le patron. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Bras tendus portant la bannière étoilée, t-shirt «Jenner ETH», foule en liesse, médaille olympique au cou en référence à son passé… Sur cette image générée par une IA postée sur le réseau social X mercredi, Caitlyn Jenner assure la promotion du «jenner», son nouveau memecoin. C'est une cryptomonnaie parodique créée de toutes pièces pour «enrichir tout le monde». A commencer par elle. Et le candidat à la présidentielle Donald Trump: les frais prélevés soutiendront sa campagne. Si la star américaine, qui promet aussi de « rendre sa grandeur aux memecoins », affiche aussi clairement que son jeton est inscrit sur la blockchain Ethereum (ETH), c'est parce qu'elle a découvert une semaine plus tôt que sa précédente initiative en la matière (sur la blockchain Solana cette fois) était une arnaque. Des observateurs ont remarqué que l'équipe de Jenner avait confié la création de sa crypto à un certain Sahil Arora, un hacker indien coutumier du fait. Celui-ci - banni de X depuis, mais qui a annoncé qu'il sévirait encore - serait à l'origine des memecoins d'autres personnalités, telles que le modèle Ivana Knöll, ou encore les rappeurs Rich The Kid, Soulja Boy et Iggy Azalea. Les memecoins pour remplacer les NFT? Quand un «VC» s'en mêle... … Vitalik Buterin s'énerve Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Qu'on la lie aux cryptomonnaies ou à de multiples autres applications sécurisantes, la blockchain se révèle un terrain de jeu fascinant pour les maths. L'omniprésence des mathématiques dans la blockchain reste un pilier méconnu de notre avenir numérique. La technologie blockchain, souvent décrite comme un registre décentralisé et inviolable, repose sur un réseau de noeuds qui partagent, vérifient et valident les informations. Mais sa magie réside dans des mathématiques avancées qui assurent son fonctionnement. Du chiffrement (« encryption ») à la théorie des nombres, en passant par les algorithmes de consensus, les mathématiques sont le ciment invisible de cette technologie révolutionnaire. Algorithme spécifique Pour faire simple, les mineurs doivent trouver une valeur qui, lorsqu'elle est insérée dans un algorithme spécifique (appelé «hashing»), produit une sortie qui répond à des critères de difficulté définis. En outre, si cette valeur (ou «hash») est plus petite qu'une grandeur imposée par le mode opératoire (la «target»), le mineur est récompensé. La «target» témoigne du degré de difficulté à satisfaire l'inégalité en question. De plus, lorsque le réseau grandit, l'ensemble des calculs demandent plus puissance puisque tous les mineurs sont en compétition. Courbes elliptiques Résister à la fraude En conclusion, les mathématiques forment l'essence même de la blockchain, la rendant à la fois possible, fiable, et de plus en plus stable au cours de sa construction. Il est donc indispensable, pour ceux qui souhaitent se lancer dans le monde des cryptomonnaies, de maîtriser au minimum les bases mathématiques sous-jacentes. Après tout, n'oublions pas qu'investir dans ces technologies sans une bonne compréhension reviendrait à naviguer une mer déchaînée sans carte ni boussole. Alors, avant de vous aventurer dans ces eaux digitales, pensez à réviser vos formules! Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Procter & Gamble’s chief brand officer Marc Pritchard has warned marketers not to rely on AI and other emerging technologies for their ideas, but instead to use the power of humanity to unleash the creative potential of everyday brands. “Even with all the technology available to us, the answer won’t be found in the data or the algorithms,” Pritchard told his audience today at the Cannes Lions Festival of Creativity (18 June). “The answer is in the idea, which comes from the heart and soul.” In a keynote titled ‘Finding Creativity in the Everyday’, he talked of the “exponential potential” for creative opportunities generated by daily-use household and personal care products, but argued that only the human brain can generate ideas that provoke “that physiological reaction when something really touches you”. P&G directs marketing spend towards ‘expandable categories’ in pursuit of volume growth The P&G brand chief took the opportunity to set out the creative power of household brands, which he admitted are “not the first products that come to mind when it comes to creativity”. Citing recent campaigns for Lenor and Gillette, he calculated that such products offer billions of “everyday moments” which are “rich with creative potential”. “That equals exponential possibilities for finding creativity in the everyday and enormous potential for delighting people through innovation and creativity that drives growth and value for brands and markets.” To realise those opportunities, marketers must follow a three-point plan, he said. First, they should venture out into communities and witness the power of everyday product moments first-hand. “It’s visiting people in their homes and where they shop, to observe actual behaviour in how they experience our products,” he said. “It requires human interaction to get the true essence of a moment.” Second, marketers must take such experiences and use them to identify their brand’s unique ability for problem-solving. “It’s important to define how the brand provides a tangible and noticeably superior performance benefit.” Finally, they must use their brains to form a magical creative brand idea, such as Lenor’s ‘Let the sunshine in’ or Gillette’s ‘The best a man can get’. Pritchard detailed a series of P&G brand campaigns that have used everyday activities to have cultural impact in international markets. Soap brand Safeguard used the annual family-based holiday of Chinese New Year to engage consumers in the ritual of “wash hands and have dinner”. Ariel helped to shift the work balance in Indian households by encouraging more men to do laundry duties with a socially-minded campaign called ‘Share the Load’. Speaking in France ahead of the start of the Paris Olympics and Paralympics next month (July), in which P&G is a worldwide partner, Pritchard referenced the Olympics-inspired brand marketing that P&G is doing with more than 30 brands, focused on the “daily little wins” for users of its products, including a Pampers campaign on empowering “little champions”. P&G’s Marc Pritchard: Marketers must ‘reset’ the creative bar for market growth The discus event becomes the “Dirty Dishcus”, a washing-up competition linked to P&G cleaning brands Cascade and Dawn, while curling is transformed into the mop-based “Swirling with Swiffer PowerMop”. Lire l'article complet sur : www.marketingweek.com No comment yet. Sign up to comment |
From www La liberté est un principe essentiel de l'Union européenne (UE). Chaque habitant de l'UE est libre de vivre, de travailler, d'étudier ou de mener des activités commerciales dans l'Etat membre de son choix. Et l'euro joue un rôle essentiel à cet égard. Il peut être utilisé partout dans la zone euro pour acheter des biens ou des services. La Banque centrale européenne (BCE) contribue à la préservation de ces libertés à travers la mise à disposition des billets en euros. La plupart des Européens souhaitent pouvoir continuer à payer en espèces car ils les considèrent comme essentielles à leur liberté: les espèces sont en effet facilement accessibles par tous, acceptées partout dans la zone euro et respectueuses de la vie privée.Mais, face à la numérisation croissante de l'économie, l'absence de solution équivalente pour effectuer des paiements en ligne entrave notre liberté. Il existe dans certains pays européens des moyens de paiement numériques locaux permettant de payer en magasin - comme des cartes bancaires ou des portefeuilles numériques -, mais de telles solutions nationales font défaut dans la plupart des pays de la zone euro. Et, lorsqu'elles existent, ces options ne fonctionnent généralement pas pour les achats en ligne, ni pour partager des additions entre amis ou lorsque l'on se déplace au sein de la zone euro. Nous sommes donc contraints de recourir à des cartes ou des solutions de paiement non européennes, qui ne sont d'ailleurs pas non plus systématiquement acceptées, et devons utiliser des méthodes de paiement multiples. Euro numérique Réduction des coûts Moyen accessible à tous Dans un monde en pleine mutation et face à la multiplication des risques géopolitiques, nous devons aller de l'avant. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que l'euro - notre monnaie - soit adapté à l'ère numérique tout en protégeant les libertés chères aux Européens. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Danone passe un nouveau cap. Après deux ans de remise à plat, le groupe a présenté ce jeudi aux investisseurs, à Amsterdam, la seconde étape de son plan stratégique «Renew» pour la période 2025-2028. «Le Danone de demain sera différent de celui d'hier, a commenté Antoine deSaint-Affrique, son directeur général. Nous ne voulons pas seulement revenir dans le jeu, mais jouer un rôle majeur dans le futur». C'est lui, avec une équipe aux commandes profondément renouvelée depuis son arrivée en septembre 2021 qui a mené la mutation du géant des produits laitiers. Sa mission était alors de relancer un groupe en panne de croissance, ce qui avait conduit à l'éviction de son prédécesseur, Emmanuel Faber. Un moment de bascule Ces aliments enrichis sont destinés aux personnes âgées et aux malades du cancer pour éviter la dénutrition. Sur ce marché depuis 2007, l'entreprise avait envisagé il y a dix ans de vendre cette activité. Elle est aujourd'hui au coeur de la relance. Pour faire le pont avec son activité grand public, Danone mise sur la science et ses laboratoires de R&D. «Cette relationest dans nos gènes, assure Antoine deSaint-Affrique. Quand Danone a lancé son premier yaourt en1919, c'était pour régler un problème de santé. En1964, Evian était vendu en pharmacie». Microbiote et protéines Cette déclinaison pourrait être élargie à d'autres produits de tous les jours, yaourts ou boissons. Niche de marché, les produits laitiers protéinés ont vu leurs ventes bondir de 400millions depuis2021, à près d'un milliard d'euros. Le fabricant devra toutefois veiller aux allégations. En2010, il avait été rappelé à l'ordre par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) pour une « insuffisance de causalité des effets prônés » au travers des allégations santé. Des acquisitions en vue 1919 : Danone offre la santé au bout de la cuillère Premier pilier du groupe, avec Actimel ou Activia, ce pôle pèse plus de la moitié du chiffre d'affaires. L'entreprise a été la première à renouer avec une hausse des volumes, fin2023, dans un contexte d'inflation. Un redémarrage confirmé sur le premier trimestre 2024 , doublé d'une amélioration de sa rentabilité. Sur ces bases, l'industriel se dit prêt à «ouvrir un nouveau chapitre». Il prévoit une hausse de son chiffre d'affaires de 3% à 5% entre2025 et2028, en comparable. Et une croissance de son résultat opérationnel courant sur la période, plus rapide. Son ambition est d'atteindre un flux de trésorerie disponible de trois milliards d'euros. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
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Lire l'article complet sur : www.lechotouristique.com No comment yet. Sign up to comment
From www Fin 2023, Accor a initié le déploiement d’une nouvelle infrastructure de paiement avec l’entreprise américaine basée en Irlande Stripe. L’objectif du groupe est de proposer une plateforme de commerce en ligne qui offre la réservation au-delà des chambres d’hôtels, incluant des services de spa, des restaurants et des activités. Cette refonte concerne le prépaiement, soit les réservations effectuées avant le séjour, sur les canaux digitaux tels que l’application mobile ALL et les sites de marques comme Sofitel ou Ibis. 3 000 hôtels ont déjà été équipés de la nouvelle solution, principalement en Europe. Le déploiement continuera progressivement partout dans le monde. Une meilleure performance de paiement et plus d’agilité Proposer une expérience au-delà de la chambre d’hôtel «Accor est le seul groupe hôtelier à proposer cela à cette échelle, cela nous donne un avantage compétitif certain. Nous avons l’assurance d’amener du chiffre d’affaires supplémentaire à nos établissem*nts» continue-t-il. Accor travaille désormais à ce que la carte bancaire des clients reste enregistrée sur les canaux digitaux pour ceux qui le souhaitent, notamment dans l’application mobile du groupe. Cela permettrait de proposer plus de confort d’utilisation et donc de fidéliser les clients. Lire l'article complet sur : www.tom.travel No comment yet. Sign up to comment
From www Formation, régulation et intelligence artificielle (IA) sont au cœur des missions de l'Alliance Smart Africa qui s'est donné pour objectif de faire avancer l'Afrique dans l'ère du digital. En marge du Gitex Africa, devenu en à peine deux éditions, le rendez-vous incontournablede la tech en Afrique, Lacina Koné,directeur général de Smart Africa, rappelle que si cet événement commercial reste orienté vers le secteur privé, l'écosystème étatique – avec les agences de régulation, de sécurité – se doit d'être présent. L'Alliance, créée il y a 11ans au Rwanda, rassemble des chefs d'État africains,41pays à ce jour, mais également des organisations internationales et de grands acteurs du secteur du numérique. Il décrypte pour Le Point Afrique les enjeux du numérique et les défis actuels. Le Point Afrique:Quelles sont les perspectives de l'IA pour l'Afrique? Lacina Koné: Il faut d'abord se demander ce que l'IA a fait. C'est comparable à ce qui s'est passé avec l'impact de l'automatisation dans les usines, pour les ouvriers. C'est le même impact qu'aura l'IA sur les cadres. Aujourd'hui, je n'ai pas besoin d'une assistante, techniquement parlant. Pourtant, elle a été bien formée, elle a sa licence… L'IA permet à chacun d'avoir un apprentissage personnalisé. Avec l'IA, que je parle en arable ou en swahili, mon téléphone va me répondre. L'IA permet de personnaliser l'apprentissage. Cela n'est pas possible aujourd'hui. La formation, même en ligne, même individuelle, n'est pas personnalisée: c'est le même module qui est dispensé. Cet outil va aussi nous faire gagner du temps et contribuer à renforcer l'aspect inclusif de la digitalisation du continent africain, car tout le monde pourra se l'approprier dans sa propre langue. Cet exemple, c'est juste un cas d'usage. Des milliers d'usages sont possibles: dans la santé, l'agriculture, les transports. Lire l'article complet sur : www.lepoint.fr No comment yet. Sign up to comment
From www La France est partie avec un temps de retard par rapport à l'Italie ou à l'Espagne sur l'ouverture des grandes lignes ferroviaires à la concurrence, mais le signal du départ est bel et bien donné. Après l'arrivée des opérateurs historiques, l'italien Trenitalia en 2021 et l'espagnol Renfe en 2023, sur quelques axes rentables, de nouveaux venus domestiques se préparent activement à concurrencer les TGV de la SNCF. Proxima, Le Train ou Kevin Speed (sous la marque « Ilisto ») veulent se lancer avec des arrivées programmées entre 2026 et 2028. Billets moins chers pour les clients Quant au prix des billets, les clients sont largement gagnants, l'arrivée de nouveaux entrants ayant généré, après une première vague de promotions destinées à acheter des parts de marché, «une réduction des prix moyens de 10 à 20% pour l'usager», selon l'étude. Même constat avec le précédent italien. Un marché domestique transalpin que la SNCF s'apprête à conquérir à son tour, à partir de2026, avec un produit low cost dérivé du produit Ouigo et ses 15 nouveaux TGV à deux étages et densifiés, selon le projet «Allegro» déjà dévoilé en interne. Une concurrence «par le bas» à l'égard des deux opérateurs actuels, Trenitalia et Italo (NTV), qui exploitent respectivement 59% et 41% des fréquences vendues sur la voie royale Rome-Milan. Péages plus élevés en France Réduire le prix des péages - une réflexion lancée de longue date en France mais sans résultat concret -, pourrait, si le futur gouvernement issu des urnes s'y résout, améliorer la compétitivité du train, le bilan carbone global des transports, et créer une demande induite de trains. Donc à terme, plus de passagers annuels, et plus de recettes pour le gestionnaire d'infrastructures, SNCF Réseau. Avec l'arrivée de Trenitalia, la SNCF a perdu son monopole historique sur Paris-Lyon, la liaison la plus fréquentée d'Europe (44millions de passagers, soit un tiers du trafic longue distance en France), rappelle le cabinet E-Cube. Gonflant pour le groupe français le poids relatif de ses lignes domestiques déficitaires, par exemple vers Arras, Chambéry ou Nancy, qui ne seront jamais convoitées par ses rivaux. Grosses pertes de Trenitalia en France Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www L'inventeur de l'hypermarché innove. Carrefour a inauguré ce jeudi matin à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, en lieu et place d'un hypermarché Carrefour, son premier Atacadao français, un concept importé du Brésil inédit dans l'Hexagone. Depuis le développement du drive dans les années2010, puis celui de la livraison à domicile, le groupe de distribution dirigé par Alexandre Bompard n'avait pas révolutionné son métier. Atacadao constitue une vraie nouveauté. «Carrefour est un groupe qui prend des risques. Nous avons décidé de lancer cette expérience lorsque l'hyperinflation a touché le marché de l'alimentaire», a déclaré le PDG de Carrefour lors de l'inauguration. Le magasin pionnier situé dans le centre commercial O'Parinor est exploité par le groupe marocain LabelVie qui exploite 13 Atacadao en franchise au Maroc et a repris quelques hypers Carrefour en location-gérance en France. Atacadao signifie « grossiste » en portugais. L'enseigne est accessible à la fois aux particuliers et aux professionnels. C'est une sorte de mélange entre un cash-and-carry type Metro et un hypermarché. Carrefour a racheté l'enseigne au Brésil en 2007 et l'a développé jusqu'à en faire son format phare dans le pays continent avec 366 unités. Magasin entrepôt Jusqu'à 8% de réduction pour les professionnels Les prix sont bas parce que nous ferons peu de promotions et pas de publicité. Mais la grande nouveauté de l'assortiment tient aux produits internationaux et exotiques: asiatiques (chinois, japonais, coréens), orientaux, africains,etc. Les marques présentes ne se retrouvent pas dans les supermarchés traditionnels. La zone de chalandise d'Aulnay-sous-Bois a été choisie parce que les populations qui l'occupent sont d'origines diverses, avec notamment beaucoup d'Asiatiques. La part belle est faite aux fruits et légumes, variés eux aussi. Une boucherie et une boulangerie complètent le tout. Bouche à oreille Carrefour se donne six à huit mois pour tirer un premier bilan de son premier Atacadao français. D'ores et déjà d'autres zones d'implantation ont été identifiées. Dans le Nord notamment. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Il ne faut pas se fier aux apparences. Enrique Martinez illustre l'adage. Son physique massif de deuxième ligne de rugby des années 1970 cache un ancien basketteur de haut niveau. Sa voix douce et son ton mesuré camouflent une détermination de fer et des convictions que bien d'autres crieraient sur tous les toits. Le directeur général de FNAC Darty les habille de démonstration, d'arguments et les couche sur le papier. Ses idées n'en résonnent pas moins fort dans le petit monde de la consommation. Celui qui a succédé à Alexandre Bompard à la tête du distributeur en2017 s'est fait un nom, désormais devenu une signature depuis la publication de « Et si on consommait mieux » aux Editions de l'Observatoire, ouvrage dans lequel il revendique de bousculer les codes du consumérisme. Un paradoxe pour quelqu'un qui a suivi un parcours très classique dans la distribution, un métier où le chiffre et la croissance restent l'alpha et l'oméga. Il n'en est pas moins, parmi les distributeurs, celui qui a pris les positions les plus radicales en matière de commerce durable. Parcours classique de distributeur En2004, Denis Olivennes, alors PDG de l'enseigne culturelle, le nomme directeur général de la filiale, puis de la région Espagne-Portugal. En2010, il passe au Brésil. Alexandre Bompard, arrivé en2011, lui confie ensuite la France, la Belgique et la Suisse. « La fusion avec Darty, j'étais pour. Nous étions trop petit* pour négocier avec les géants de la tech», se souvient-il. Cela tombe bien: il sera chargé en2016 de l'intégration de la maison au contrat de confiance dans l'univers du premier libraire de France. «Sobriété heureuse» La dédramatisation de l'acte d'achat a perverti nos habitudes. Sensibilisé par Al Gore, convoquant tous les prophètes de l'écologie, de l'Ademe au sociologue Gilles Lipovetsky en passant par Pierre Rabhi, il dénonce «la stimulation perpétuelle des besoins de la consommation de masse issue des années1970» et lui préfère «la sobriété heureuse». Les combats de la FNAC La consommation sobre et vertueuse n'est pas si facile à mettre en oeuvre dans une industrie de l'offre comme le livre. Enrique Martinez croit en l'action du politique. Il compte sur l'Etat et l'Union européenne dans sa croisade vers la frugalité. Il soutient l'exception culturelle française, le prix unique du livre de Jack Lang et le bonus réparation des doublures et des semelles du gouvernement Attal. Il prône une taxe carbone aux frontières. Adepte du «volontarisme» et de «l'autodiscipline», ses idées cumulent des contraintes qui l'amènent au bord de ce que certains qualifient d'écologie «punitive». L'occasion «Vendre moins» Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www C'est une idée aussi ancienne que le commerce. Unproduit élégamment mis en valeur crée du désir et a davantage de chance d'être acheté. Omi, un studio virtuel qui facilite la création de visuels (photos et vidéos), l'a bien compris. Née en2020, la jeune pousse a développé des outils mêlants 3D et IA générative qui aident à modéliser un article (parfum, high-tech, vêtement, meuble,etc.), le mettre en scène avec de multiples habillages et accessoires, et le visualiser à 360degrés. Ebullition technologique «Nous sommes plutôt sur le haut du marché», réplique Hugo Borensztein, qui revendique «plus de 500clients», parmi lesquels des marques comme Clarins, Nestlé et Fauchon. Sa société travaille avec leurs équipes marketing qui cherchent un rendu haut de gamme grâce à la 3D. A l'inverse, Photoroom a un côté plus instantané, voire ludique -la jeune pousse a développé, par exemple, des solutions pour les fans du film «Barbie» et ceux de Taylor Swift. Accélérer aux Etats-Unis Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Avec son large sourire et sa fine barbe noire, il a un faux air de l'auteur du «Nom de la Rose», le regretté Umberto Eco. Mais ses «best-sellers» à lui ont plutôt pour titres «hom*o Faber» ou «Le Hamburger de Frankenstein». C'est lui qui a oeuvré, dans l'ombre, à l'idée d'un G7 très particulier. Pour la première fois dans l'histoire de l'Eglise, un pape participera, du 13 au 15juin, au sommet des pays industrialisés du G7 à Fasano, dans les Pouilles. Ainsi l'a voulu la cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, qui a invité le souverain pontife à se joindre aux travaux du G7 centrés sur l'impact de l'intelligence artificielle. Après tout, le pape argentin n'a-t-il pas récemment noué le dialogue avec le patron d'Apple, Tim Cook, et Elon Musk, le patron de X et de Space X, figure de proue des libertariens de la Silicon Valley? A l'origine de ces rencontres inédites, on retrouve la patte discrète d'un infatigable globe-trotteur, un moine franciscain de 50 ans, membre du Tiers-Ordre régulier fondé par saint François d'Assise. Une thèse en théologie morale sur lecyborg Menace pour la justice sociale Aggravation de la fracture numérique L'inventeur de «l'algoréthique» Dans son message de paix pour2024, le pape François a plaidé pour l'élaboration d'un vrai traité international garantissant l'utilisation éthique des technologies de l'IA. Un vaste chantier. Pour l'heure, le conseiller du pape s'est d'abord fixé pour objectif de rallier le maximum de soutiens dans la société civile. Après IBM et Microsoft, le PDG de Cisco, Chuck Robbins, est le dernier en date à avoir signé, le 24avril, l'Appel de Rome pour l'algoréthique qu'il a lancé en2020. En outre, le directeur scientifique de la Fondation RenAIssance du Vatican va organiser en juillet un sommet pour l'adhésion des religions orientales (hindouisme, bouddhisme, taoïsme…) à l'Appel de Rome, à Hiroshima, lieu symbolique pour «rappeler que, jamais plus, la technologie ne doit être utilisée comme instrument de destruction. Nous y travaillons depuis dix-huit mois. Tous les leaders religieux qui adhéreront à l'appel représenteront ainsi la majorité des personnes vivant sur la planète», se félicite-t-il. En bon théologien, Paolo Benanti aime résumer son propos par une parabole. Y compris sur les limites de l'IA. Un jour, un industriel du secteur médical a cherché à le confronter à un agent de conversation virtuel en l'invitant à lui poser une question. Flairant le mirage, le franciscain lui a carrément demandé comment éliminer le cancer de la surface de la Terre. La machine lui a répondu: «En éliminant tous les hommes.» La machine avait visiblement omis les critères éthiques… Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Le 20avril dernier, comme tous les quatre ans, le monde des cryptos a encaissé le choc. Celui du «halving», cette réduction soudaine des récompenses attribuées aux mineurs de cryptomonnaies, en contrepartie de leur travail de vérification des transactions. Et même si le prix des monnaies virtuelles est largement remonté ces huit derniers mois, les conséquences sont toujours violentes pour l'industrie du minage. Avec le halving , il devient beaucoup moins rentable de créer de nouvelles unités de bitcoin, la reine des cryptos, alors que l'activité demeure très gourmande en énergie. Une gigantesque quantité d'électricité est nécessaire pour alimenter les ordinateurs qui calculent nuit et jour pour valider des transactions cryptées. Les serveurs et les machines sont entreposés dans d'immenses hangars dans diverses régions du globe où l'électricité est relativement bon marché. Data centers à tout prix Consolider l'activité des mineurs En Europe, l'allemand Northern Data a déjà entamé son virage vers l'IA. Cette entreprise de minage est parvenue à se procurer des milliers de puces H100 de Nvidia, qu'elle se prépare à fournir aux entreprises européennes d'IA d'ici à l'été. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment
From www Jean de La Fontaine est formel: «Rien ne sert de courir, il faut partir à point». Mais lorsqu'il s'agit de la course que se livrent les acteurs de l'asset management pour intégrer les cryptoactifs à leur offre, difficile d'être aussi affirmatif. Dans le rôle du lièvre: les gérants américains. Depuis que le 10janvier dernier, leur régulateur, la Securities and Exchange Commission (SEC), a donné à onze d'entre eux le feu vert pour proposer des ETF (exchange-traded funds ou fonds cotés en Bourse) directement investis en bitcoins («au comptant»), les superlatifs pleuvent. Dès les premières semaines, la collecte des véhicules lancés par les géants américains BlackRock et Fidelity s'envole à plus de 2milliards de dollars chacun. Il a ainsi fallu moins de deux mois à BlackRock pour atteindre la barre symbolique des 10milliards de dollars d'encours. «Le record était jusque-là détenu par l'ETF d'Invesco répliquant le Nasdaq et cela lui avait pris plus d'un an», souligne Bryan Armour, directeur de la recherche sur la gestion passive pour l'Amérique du Nord chez Morningstar. Parti de rien, BlackRock est devenu, fin mai, le gestionnaire du plus gros fonds de bitcoins au monde, damant le pion au spécialiste américain des cryptos en place depuis plus de dix ans, Grayscale, mis au tapis pour ne pas avoir abaissé ses frais afin de s'adapter à cette nouvelle concurrence. Dès2019 en Europe Leur structure reste toutefois plus complexe. Si, aux Etats-Unis, on parle ainsi d'ETF, c'est-à-dire de «fonds», il n'en va pas de même en Europe. Pour être qualifié d'ETF, un produit coté en Bourse doit répondre aux exigences de la directive Ucits (OPCVM en français). Or un fonds Ucits n'a pas le droit d'investir dans des cryptoactifs. De ce côté-ci de l'Atlantique, on parle donc d'ETC, le «C» signifiant «commodities» (matières premières). Une structure déjà retenue pour les produits adossés à l'or par exemple, mais qui freine le développement du marché. Les chiffres sont sans appel: en cinq mois - en tenant compte de l'effet de marché très positif sur la période -, l'encours des ETF bitcoins américains est passé de zéro à plus de 60milliards de dollars, alors que l'ensemble de ces produits cryptos plafonne à 14milliards en Europe, après plus de cinq ans d'existence. Lire l'article complet sur : www.lesechos.fr No comment yet. Sign up to comment |
Concurrence dans les TGV : le big bang européen est en route | Big Data in Business (2024)
Table of Contents
Pourquoi la tokenisation des actifs financiers ne sera pas aussi massive que prévu
L'open source au défi du modèle économique de l'intelligence artificielle
Les IA raisonnent-elles ou récitent-elles?
Le paiement sans contact désormais possible au-dessus de 50euros
Montée de l’extrême droite en Europe: pourquoi ce pourrait être un mal pour un bien pour l’Afrique
Mise au net
Greener Is Getting Going
Taxis volants : Volocopter obtient le feu vert pour des expérimentations à Paris
Amazon-Powered AI Cameras Used to Detect Emotions of Unwitting UK Train Passengers
Avec sa nouvelle IA, Gojob peut remplacer l'équivalent de 130agences d'intérim
Les memecoins de célébrités, nouvelle dérive à la mode dans les cryptos
Opinion | L'omniprésence des mathématiques dans la blockchain
P&G’s Marc Pritchard: ‘AI doesn’t get the creative tingles - humanity matters’
Opinion | L'Europe ne peut plus se passer de l'euro numérique
Après son redressem*nt, Danone engage une mutation profonde
"Il faut rendre sexy le tourisme responsable" selon Antoine Richard
Accor se dote d’un système de paiement centralisé pour vendre plus que des chambres d’hôtels
Lacina Koné: «En Afrique, l’IA va aider à réduire le fossé numérique»
Concurrence dans les TGV: le big bang européen est en route
Atacadao, l'arme anti-inflation brésilienne que Carrefour dégaine en France
«La sobriété heureuse»: l'étonnant plaidoyer du patron de FNAC Darty
3D, IA générative: les start-up transforment la création de contenus visuels pour l'e-commerce
IA : Paolo Benanti, le moine franciscain qui murmure à l'oreille du pape
Comment l'IA rebat les cartes pour les mineurs de cryptos
ETF bitcoin: les gérants européens distancés par les américains
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Author: Otha Schamberger
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Name: Otha Schamberger
Birthday: 1999-08-15
Address: Suite 490 606 Hammes Ferry, Carterhaven, IL 62290
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Job: Forward IT Agent
Hobby: Fishing, Flying, Jewelry making, Digital arts, Sand art, Parkour, tabletop games
Introduction: My name is Otha Schamberger, I am a vast, good, healthy, cheerful, energetic, gorgeous, magnificent person who loves writing and wants to share my knowledge and understanding with you.